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Un « grand oral » comptant pour 30 % de la note finale: voilà une des propositions comprises dans un rapport transmis au ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, ce mercredi 24 janvier 2018. 

Si une telle réforme du baccalauréat était mise en oeuvre, la jeunesse française prendrait conscience que la lecture est un moyen privilégié d’améliorer sa parole et de construire sa pensée critique. De leur côté, les enseignants auraient désormais pour obligation de renouveler leur façon de transmettre le savoir en devenant des modèles d’éloquence pour leurs élèves. Un telle réforme est indispensable pour que la langue française redevienne une langue vivante et rayonnante, une langue au service de la pensée, de l’action et de la création.

David Jarousseau