L’éloquence, cette inconnue… Sa maîtrise est-elle liée à la maîtrise du sujet dont on parle ? Peut-on improviser ex nihilo un discours éloquent ?
L’éloquence, d’ailleurs : est-elle l’aboutissement de la parole ou seulement un moyen parmi d’autres de convaincre?
La philosophie, par ailleurs : n’est-elle pas la source où puiser l’inspiration de sorte que se lève ce brouillard de l’incertitude qui obscurcit la pensée?
La pensée précède-t-elle nécessairement la parole ?
Lors de cette conférence, je soulève ces questions et soumets mes réponses à votre approbation.